Les ballons et les billes
Les paroles de Les ballons et les billes ont été écrites par Pierre Delanoë.
Le titre Les ballons et les billes a été enregistré en 1969. A notre connaissance, ce titre n'a été repris par aucun autre artiste. |
Paroles Les ballons et les billes
Un jour de la vie on ne sait plus lequel
On perd soudain le droit de jouer comme des enfants
De pousser des cris, de lever les sauterelles
De grimper sur les toits, de courir après le vent
(Refrain)
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
Le copain qui avait une sœur si jolie
On en rêvait la nuit , on en parlait avec lui
Oui les jeudis, les ballons et les billes
Les batailles dans les rues de la ville
Les vacances et les pique-niques au bord de l’eau
Les équipés sauvages à quatre sur un vélo
Je m’souviens, j’étais plus fier qu’un lord anglais
Tant pour la première fois, quelqu’un m’a appelé monsieur
Et j’oubliais l’avenir qui grondait
Le ciel gris devant moi, quelqu’un m’avait dit monsieur
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
C’est fini de faire le clown et les quat’ cents coups
Monsieur attachez-vous une cravate autour du cou
Oui les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
C’est fini, le nez barbouillé de chocolat
Sinon vous n’aurez pas, vous n’aurez pas la gloire
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
Un jour de la vie on ne sait plus lequel
On perd soudain le droit de jouer comme des enfants
De pousser des cris, de lever les sauterelles
De grimper sur les toits, de courir après le vent
(Refrain)
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
Le copain qui avait une sœur si jolie
On en rêvait la nuit , on en parlait avec lui
Oui les jeudis, les ballons et les billes
Les batailles dans les rues de la ville
Les vacances et les pique-niques au bord de l’eau
Les équipés sauvages à quatre sur un vélo
Je m’souviens, j’étais plus fier qu’un lord anglais
Tant pour la première fois, quelqu’un m’a appelé monsieur
Et j’oubliais l’avenir qui grondait
Le ciel gris devant moi, quelqu’un m’avait dit monsieur
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
C’est fini de faire le clown et les quat’ cents coups
Monsieur attachez-vous une cravate autour du cou
Oui les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles
C’est fini, le nez barbouillé de chocolat
Sinon vous n’aurez pas, vous n’aurez pas la gloire
Les jeudis, les ballons et les billes
Les bonbons que l’on donnait aux filles