A l'Italienne
Les paroles de A l'Italienne ont été écrites par Pierre Delanoë / Michel Sardou et la musique composée par Jean Pierre Bourtayre / Jacques Revaux.
Le titre A l'Italienne a été enregistré en 1983. La chanson A l'Italienne a été éditée par Art Music France No 1 / Universal Intern Mc Pub L. A notre connaissance, ce titre n'a été repris par aucun autre artiste. |
Paroles A l'Italienne
Chante-nous une chanson, l'Artiste,
Une chanson d'homme, une chanson triste,
Avec une voix à l'italienne,
Une voix brisée, presqu'inhumaine,
Qui jaillirait des profondeurs,
Qui nous enflamme l'âme et le coeur.
Nous n'aurons connu qu'un seul hiver.
Adieu mon ciel adieu ma terre.
Chacun peut partir où il veut.
Nous aurons brûlé la dernière heure.
Adieu mon corps, adieu mon coeur.
Bonjour les jours qui sonnent creux.
Nous n'avons à craindre aucun remords.
Adieu ma vie, adieu ma mort.
La fin du monde est dans tes yeux.
C'est joli, l'Artiste
Mais c'est un peu triste
Pour une chanson d'amour.
Dis-nous les mots tendres
Qu'une femme veut entendre
Dans certains lieux, à certaines heures.
A quoi bon parler de nos victoires,
De nos promesses dérisoires.
Que chacun s'en aille où il veut.
A quoi bon sortir les vieux sourires,
Les mots usés qui font mentir.
La fin du monde est dans nos yeux.
Nous n'aurons connu qu'un seul hiver.
Adieu mon ciel, adieu ma terre...
Chante-nous une chanson, l'Artiste,
Une chanson d'homme, une chanson triste,
Avec une voix à l'italienne,
Une voix brisée, presqu'inhumaine,
Qui jaillirait des profondeurs,
Qui nous enflamme l'âme et le coeur.
Nous n'aurons connu qu'un seul hiver.
Adieu mon ciel adieu ma terre.
Chacun peut partir où il veut.
Nous aurons brûlé la dernière heure.
Adieu mon corps, adieu mon coeur.
Bonjour les jours qui sonnent creux.
Nous n'avons à craindre aucun remords.
Adieu ma vie, adieu ma mort.
La fin du monde est dans tes yeux.
C'est joli, l'Artiste
Mais c'est un peu triste
Pour une chanson d'amour.
Dis-nous les mots tendres
Qu'une femme veut entendre
Dans certains lieux, à certaines heures.
A quoi bon parler de nos victoires,
De nos promesses dérisoires.
Que chacun s'en aille où il veut.
A quoi bon sortir les vieux sourires,
Les mots usés qui font mentir.
La fin du monde est dans nos yeux.
Nous n'aurons connu qu'un seul hiver.
Adieu mon ciel, adieu ma terre...